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Le diocèse de Saint-Jean-Longueuil a été érigé le 9 juin 1933 par Sa sainteté le Pape Pie XI

 

Armoiries de Monseigneur
Claude Hamelin

 

« Joie et Espérance »

Symbolisme :

La devise de Mgr Claude Hamelin est « Joie et Espérance » que symbolisent les couleurs rouge (joie) et verte (espérance). Le blé et le trèfle rappellent Saint-Patrice-de-Sherrington, lieu d’origine de Mgr Hamelin.

Le Tau est la croix de François d’Assise qu'il affectionne particulièrement, comme le pape François. L’Évangile avec l’aigle de Saint-Jean évoque le diocèse de Saint-Jean-Longueuil. La poignée de main symbolise l’homme de rencontre qu’est Mgr Claude Hamelin.

 

Armoiries de Monseigneur
Lionel Gendron, p.s.s.

 

« Dieu est amour »

Blasonnement

D’or au mont à un coupeau de sinople issant de la pointe chargé du monogramme des Sulpiciens d’or, adextré d’un cœur vidé portant une plaie et surmonté d’une croisette le tout de pourpre, senestré d’une fleur de violette (viola cuculata) de pourpre, en chef sur un demi-cercle de gueules une colombe fondante d’argent nimbée d’or rayonnante de sept rayons aussi de gueules brochants. Sur un listel sous l’écu, la devise : Deus Caritas Est. L’écu est posé sur la croix haute d’or et surmonté du chapeau épiscopal de sinople à douze houppes, six de chaque côté de l’écu. 

Symbolisme

  • La montagne héraldique verte symbolise le Mont-Royal, et par conséquent Montréal, diocèse de Monseigneur Gendron;

  • Le monogramme constitué par la fusion des lettres A et M est le symbole identitaire de la Compagnie des Prêtres de Saint-Sulpice venue à Ville-Marie dès 1657 et à laquelle appartient le nouvel évêque. Il est aussi expression de piété mariale;

  • Le cœur avec une plaie surmonté de la croix évoque le signe : JÉSUS + CARITAS du bienheureux Charles de Foucauld, dont l’influence sur la vocation de Monseigneur Gendron fut déterminante. Il évoque aussi le Bon Pasteur qui aima jusqu’à l’extrême de la croix et du cœur transpercé; - La fleur de la violette, emblème floral officiel du Nouveau-Brunswick, rappelle la province natale de Monseigneur Gendron, et elle évoque aussi la nécessaire humilité évangélique; - Le demi-cercle de la partie supérieure de l’écu suggère, comme l’enseigne Rom, 5,5, l’amour du Père répandu dans nos cœurs par l’Esprit Saint, dont la colombe est le symbole héraldique, diffusant ses sept dons;

  • La croix de procession et le chapeau héraldique vert à douze houppes, six de chaque côté de l’écu, constituent les insignes héraldiques propres aux évêques;

  • La devise : DEUS CARITAS EST (Dieu est amour), est la révélation suprême (cf. 1 Jn 4,8 et 16) et le titre de la première encyclique du Pape Benoît XVI. C’est aussi une marque d’affection filiale au Souverain Pontife qui a élevé Monseigneur Gendron à l’épiscopat. Ces armoiries ont été conçues par Monsieur Robert Pichette, membre de l’Académie internationale d’héraldique et ancien président de la Société héraldique du Canada. 

 

 

 

 


Le 1er mai 1854, lors d'une réunion tenue au presbytère de Saint-Joseph-de-Chambly, les 16 prêtres présents adressent une requête à leur évêque. Ils prient Mgr Ignace Bourget d'intervenir auprès du pape Pie IX, afin qu'il érige un nouveau diocèse sur le territoire du Bas-Canada, s'étendant entre le fleuve Saint-Laurent et la rivière Richelieu jusqu'aux États-Unis. Aucune suite n'est donnée au projet.

 

Près de 80 ans plus tard, le 9 juin 1933, un décret signé par Pie XI établit le diocèse de Saint-Jean-de-Québec.

 

Le premier évêque, Mgr Anastase Forget, est nommé le 12 mai de l'année suivante; son ordination épiscopale a lieu en la fête des apôtres Pierre et Paul, le 29 juin. L'église de la paroisse Saint-Jean-l'Évangéliste devient cathédrale du nouveau diocèse. 

 

 

 

Situé dans la Montérégie, au sud de Montréal, le diocèse de Saint-Jean-Longueuil fait partie de la Province ecclésiastique de Montréal. Il fait aussi partie de l'Inter-Montréal avec les diocèses de Joliette, Montréal, Saint-Hyacinthe, Saint-Jérôme, Sherbrooke, Valleyfield et les Éparchies, les Grecs-melchites et les Maronites. De tous les diocèses au Canada, il vient au cinquième rang pour sa population catholique.

 

 

 

La devise du diocèse est « In nobis unum sint ». Il s'agit d'une parole du Christ « Qu'ils soient un en nous » que l'on trouve en saint Jean, chap. 17, v. 21. Par cette parole, le Seigneur demande au Père que l'unité de la Trinité soit le modèle et le lien de l'unité des chrétiens.

 

Mgr Claude Hamelin est, depuis le 10 janvier 2020, le sixième évêque du diocèse de Saint-Jean-Longueuil. (Lien biographie de Mgr Claude Hamelin)

Évêque auxiliaire : Mgr Louis Dicaire (2004-2020)  (Lien biographique)

 

CENTRE DIOCÉSAIN

740, boul. Sainte-Foy

Longueuil J4J 1Z3

 

 

 

Armoiries du diocèse de
Saint-Jean-Longueuil

 

« Qu'ils soient un en nous » 

En plein centre des armoiries du diocèse on retrouve un écu rouge où un aigle d’or tient dans son bec une plume d’or et dans ses serres un évangéliaire broché d’or à cinq signets noir sur lequel sont inscrites les lettres grecques alpha et oméga en noir. L’aigle et l’évangéliaire symbolisent saint Jean l’Évangéliste, patron du diocèse; les cinq signets attachés à l’évangéliaire rappellent les cinq comtés civils qui, au moment de sa fondation, se partageaient le territoire du diocèse; l’alpha et l’oméga, extraits de l’Apocalypse de Jean, signifient que tout vient de Dieu et que tout doit retourner à Dieu. Une épée traverse l’écu; elle figure la Parole de Dieu, source de toute vérité, selon ce passage de la lettre aux Éphésiens : « Prenez encore le glaive de l’esprit, qui est la Parole de Dieu ». L’autorité épiscopale est représentée par le chapeau pontifical qui surplombe l’épée et par les glands au nombre de six de chaque côté.

La devise « In nobis unum sint » - « Qu’ils soient un en nous » est une parole du Christ (Jean 17,21); par cette parole, Jésus demande au Père que l’unité de la Trinité soit le modèle et le lien de l’unité des chrétiens. 

 

À lire !

 

Voir la page Mgr Jacques Berthelet - Un livre sur sa vie où vous trouverez des informations sur le livre publié en mémoire de l'ancien évêque du diocèse.

 

Évêques prédécesseurs
au diocèse

Mgr Anastase Forget (1934-1955)


Mgr Anastase Forget, né le 12 juillet 1885, est natif de la paroisse Saint-François-de-Sales sur l’Île Jésus (aujourd’hui Laval). 

Les premières années de l'épiscopat de Mgr Forget sont marquées par de nombreuses initiatives pastorales : la reconstruction du Collège de Saint-Jean, à la suite du feu de 1939 qui avait détruit l'ancienne institution fondée en 1911; l'œuvre des vocations, l'œuvre des terrains de jeux et la construction du Camp Jean-Jeunes à Vendée; divers mouvements d'Action catholique de milieu, les mouvements d'apostolat, en particulier les Ligues du Sacré-Cœur et les Cercles Lacordaire et Jeanne-d'Arc; les associations professionnelles et syndicales, entre autres, celles des professeurs et des commissaires d'écoles; les caisses populaires et coopératives; la Centrale Catholique, lieu de loisirs pour la population de Saint-Jean; le journal Le Richelieu; les Chantiers du Bon Pasteur sur la Rive-Sud de Montréal, où s'établissent dans la misère des milliers d'immigrants montréalais. Ces chantiers constituent dix-sept des vingt-quatre paroisses fondées par Mgr Forget.

Les œuvres et mouvements s'avèrent efficaces tout en répondant aux besoins importants dans le domaine de la promotion humaine, surtout au niveau paroissial. À mesure que la société se prendra en main, plusieurs de ces initiatives seront poursuivies par des organismes autonomes; quelques-unes disparaîtront alors que d'autres demeureront propres à l'Église. Mgr Forget est décédé le 3 février 1955 après un pastorat qui durera vingt ans. C'est Mgr Gérard-Marie Coderre qui lui succède, de 1955 à 1978.

Mgr Gérard-Marie Coderre (1955-1978)

Le deuxième évêque de Saint-Jean-Longueuil voit le jour le 19 décembre 1904 dans le village de Saint-Jacques-de-Montcalm dans la région de Lanaudière.

Parmi ses préoccupations majeures, Mgr Coderre souhaite faire l'unité dans l'Église de Saint-Jean et susciter la participation responsable de tous les chrétiens à la gestion pastorale du diocèse. Sa devise : « Prenant la condition de serviteur ».

Se référant à un texte de saint Jean : « Qu'ils soient un comme vous et moi nous sommes un, afin que le monde croie que tu m'as envoyé », Mgr Coderre était convaincu que l'unité était une réalité absolument nécessaire à toute la communauté et à plus forte raison à une communauté diocésaine.

Cette unité de pensée et de mentalité, l'évêque de Saint-Jean-de-Québec a d'abord voulu la faire avec les prêtres du diocèse. Il a essayé de développer avec eux un esprit commun propre à répondre aux besoins de la communauté. Il a voulu la faire aussi avec les religieux et religieuses et les laïcs en multipliant les rencontres avec eux, en ne cessant d'expliquer les initiatives pastorales qu'il mettait de l'avant et en les incitant à s'engager de plus en plus nombreux dans les divers champs de la vie pastorale, de la vie sacramentelle, de la vie étudiante, afin qu'il n'y ait pas dans l'Église de Saint-Jean de « clans durcis », selon son expression.

Mgr Coderre n'ignorait pas qu'il y avait des prêtres et des laïcs qui remettaient en question certaines de ses réalisations, certaines idées qu'il mettait de l'avant, mais il croyait qu'en général la forte majorité des diocésains étaient heureux d'être dans l'Église de Saint-Jean et que même s'ils ne saisissaient pas toujours tout, ils cherchaient à y participer le mieux possible.

Si Mgr Coderre a pu créer l'unité dans l'Église de Saint-Jean-de-Québec, c'est dû en grande partie à une autre de ses préoccupations majeures, celle du partage responsable de son leadership avec les prêtres, les religieux et religieuses et les laïques de son diocèse. « Le visiteur qui entre au Centre diocésain, se plaisait-il à dire, est d'abord étonné et vite convaincu de cette volonté que j'ai de partager mon leadership en voyant le grand nombre de religieux et de laïcs qui participent aux activités pastorales, dans les organismes et services et qui y détiennent des responsabilité réelles ». Ajoutons que Mgr Coderre est le premier évêque à aborder la place des femmes en église lors du concile. Il leur confia des responsabilités d’agentes de pastorale.

Mgr Coderre était persuadé qu'un évêque est d'abord un serviteur. « Quand je me suis préparé à mon rôle d'évêque, explique-t-il, j'ai étudié dans les Pères de l'Église comment devait se situer un évêque dans son Église particulière. Et c'est là que j'ai décidé de choisir une devise exigeante : Forman servi accipiens, c'est-à-dire « Prenant la condition de serviteur ». Je me suis dit que si j'étais un serviteur, je ne pouvais pas être serviteur et responsable en même temps à moins de m'attacher le plus possible de chrétiens, prêtres, religieux, religieuses, laïcs, afin que mon service soit le plus adéquat possible ».

Mgr Coderre était profondément conscient qu'il était responsable d'une Église de par la volonté du Christ. Et il était fermement convaincu que seul il ne pourrait arriver à conduire cette Église et à la gouverner dans le sens d'un service. Mentionnons que dans les années 60, Mgr Coderre fut responsable provincial du Renouveau de la catéchèse.

La Fondation Mgr Gérard-Marie-Coderre a été créée à l’instigation de ce dernier en octobre 1977, afin de permettre à des gens ou à des communautés de soutenir financièrement les activités de formation et d’information du diocèse.

À la fin de son épiscopat, le diocèse était sept fois plus populeux qu’en 1933, date de sa création. 

En 1997, Mgr Robert Lebel est nommé évêque auxiliaire.

Mgr Bernard Hubert (1978-1996)

L'arrivée de Mgr Bernard Hubert

Mars 1976, Mgr Robert Lebel était nommé évêque du diocèse de Valleyfield. Du même coup, Mgr Coderre perdait son évêque auxiliaire venu le seconder depuis les deux dernières années. La perte était lourde. Mgr Coderre avançait en âge, sa santé était moins bonne. Il ne fait aucun doute qu'il entreprit immédiatement des démarches pour qu'un nouvel évêque soit nommé pour remplacer Mgr Lebel. Sachant sa retraite venir, Mgr Coderre fut quand même patient. Il voulait un « géant » pour lui succéder. Sa patience trouva sa récompense quand, le 27 janvier 1977, Mgr Bernard Hubert, évêque du diocèse de Saint-Jérôme depuis 1971, fut nommé évêque coadjuteur du diocèse de Saint-Jean-de-Québec avec droit de succession.

Une réputation déjà établie

Mgr Bernard Hubert est né à Beloeil le 1er juin 1929. Sa devise : « Notre salut est objet d’espérance».

Ordonné prêtre pour le diocèse de Valleyfield en 1953, Mgr Bernard Hubert travailla dans différents champs de la pastorale de son diocèse. Il a été, entre autres, aumônier de l'Action catholique, professeur de chimie, responsable de la pastorale auprès des étudiants, directeur des services aux étudiants des Centres d'Animation, de Développement et de Recherche en éducation, vicaire épiscopal du diocèse de Valleyfield, directeur de la pastorale paroissiale. Le 25 mai 1971, Mgr Bernard Hubert était nommé évêque du diocèse de Saint-Jérôme.

Au moment de sa nomination comme évêque coadjuteur du diocèse de Saint-Jean-de-Québec, la réputation de Mgr Hubert était déjà bien établie. Il était reconnu comme leader au caractère solide et mordant, comme un homme de décision qui disait oui ou non, mais qui le disait fermement. Mgr Hubert était aussi connu pour l'intérêt qu'il portait aux problèmes des plus démunis de la société. Quelques années à peine avant son arrivée dans le diocèse, il s'était fortement impliqué dans le règlement du conflit de la United Aircraft de Longueuil. Il avait aussi pris partie pour les expropriés de Mirabel et les ouvriers de Tricofil dans son diocèse de Saint-Jérôme. Étaient bien connues aussi, les grandes lignes de sa pensée pastorale.

Importance des liens avec les communautés locales

Pour Mgr Hubert, le rôle principal d'un évêque dans son diocèse consistait à présider à la construction de l'Église en établissant d'abord des liens entre les communautés de croyants et en stimulant ces communautés afin qu'elles prennent leur place dans l'histoire par une recherche active, dans les situations humaines, du Royaume de Dieu et de sa justice.

Au cours de son pastorat à Saint-Jérôme, Mgr Hubert avait multiplié les contacts avec les communautés chrétiennes en participant à la vie locale des communautés. Il croyait que le travail sur le terrain de l'évêque apportait aux fidèles le sentiment d'une appartenance plus sentie au Christ.

Développer la diversité dans l'unité

Pendant son mandat à Saint-Jérôme, Mgr Hubert développa et consolida les données du concile dans les communautés chrétiennes. Il s'employa à susciter la responsabilité et l'engagement des chrétiens. Il tenta également de développer la diversité dans l'unité. Suite au décrochage d'un grand nombre de chrétiens, Mgr Hubert s'est préoccupé de remettre en lumière l'importance des lieux complémentaires de cheminement spirituel.

Former des agents religieux et laïcs

À Saint-Jérôme, Mgr Hubert avait dû relever un défi géographique et sociologique identique à celui qu'avait rencontré Mgr Coderre dans son diocèse : l'arrivée massive de populations nouvelles coïncidant avec une diminution des ressources humaines en prêtres et l'augmentation des besoins pastoraux. Pour prévoir les besoins à venir, Mgr Hubert croyait qu'il était essentiel de voir à la formation d'agents pastoraux religieux et laïques capables d'assumer des tâches d'évangélisation.

Les tâches de justice sociale, partie intégrante du comportement chrétien

Mgr Hubert insistait beaucoup sur le fait que les tâches de la justice sociale étaient une partie intégrante du comportement chrétien. Il croyait que la ligne du témoignage spirituel était essentielle à l'Église parce que sa mission est d'ordre religieux « Jésus Christ amour, écrivait-il dans une lettre pastorale, non seulement se révèle à nous, mais il nous engage à sa suite dans le service de nos frères. Dans la foi et dans l'amour, les tâches de la justice sociale constituent souvent un test décisif de notre fidélité au Christ ». Ces quelques aspects de la pensée pastorale de Mgr Hubert étaient en parfaite harmonie avec celle de Mgr Coderre.

Le prix Bernard-Hubert a été nommé en son honneur.

Mgr Jacques Berthelet (1996-2010)

Né à Montréal le 24 octobre 1934, Mgr Jacques Berthelet, clerc de Saint-Viateur, est nommé évêque du diocèse de Saint-Jean-Longueuil le 27 décembre 1997.

Sous sa gouverne, le diocèse de Saint-Jean-Longueuil continue sa progression démographique (654 066 habitants en 2001) et se trouve toujours au cœur des profonds changements que connaît la société québécoise. La réforme municipale du gouvernement provincial touche directement les deux principales régions du diocèse : le Haut-Richelieu et la Rive-Sud du Saint-Laurent. Étant l’un des plus petits diocèses du Québec, avec ses 2 078 km2, il occupe pourtant la troisième place en terme de population sur le plan provincial, et le quatrième rang au Canada. Bien que son clergé subisse cette forte pression, un prêtre pour 4 200 catholiques, les programmes de formation et les projets d’implication des laïcs à la mission pastorale ecclésiale comme partenaires des prêtres sont de plus en plus essentiels.

Conçue comme un projet de relance, l’opération Demain la paroisse a débuté en 1997 et s’est poursuivie jusqu’au Jubilé de l’an 2000. Mgr Berthelet désirant renouveler cette « communauté stable des fidèles qui ont pour mission d’habiter chrétiennement un lieu », ce processus de consultation a pour finalité un projet d’évangélisation et d’animation pastorale pour chaque paroisse. Devant analyser leurs forces et leurs faiblesses, les communautés chrétiennes du diocèse doivent trouver des solutions nouvelles de partenariat afin de devenir elles-mêmes le premier lieu d’une nouvelle évangélisation. Parmi les défis qui attendent les paroisses, mentionnons le poids financier de l’entretien de leur parc immobilier, le vieillissement de la population et une nouvelle législation quant à l’enseignement religieux dans les écoles publiques québécoises. Des pistes de solution ont déjà donné lieu à plusieurs regroupements paroissiaux et à des partenariats municipaux.

Au plan diocésain, de nouveaux services ont été créés, ainsi que certains réaménagements effectués. Le plus important changement touche les services pastoraux qui deviennent les Services à la mission : « Ils possèdent une tâche commune; celle d’assister les forces vives de notre Église dans la mise en œuvre des divers moments de l’évangélisation : la première annonce, la catéchèse et la pastorale. »

Sous son épiscopat, Mgr Louis Dicaire fut nommé évêque auxiliaire en 2004. 

En 2010, il prenait sa retraite comme évêque de Saint-Jean-Longueuil. C'est Mgr Lionel Gendron, alors évêque auxiliaire à l'archevêché de Montréal qui lui succède.

Mgr Jacques Berthelet, c.s.v. est décédé le 25 janvier 2019, à l'âge de 84 ans. 

Voir également la page Mgr Jacques Berthelet - Un livre sur sa vie où vous trouverez des informations sur le livre publié en mémoire de l'ancien évêque du diocèse.

 

 

Mgr Lionel Gendron (2010-2019)

Mgr Lionel Gendron est né le 12 juin 1944 à Saint-Quentin au Nouveau-Brunswick. Après avoir fait ses études théologiques au Grand Séminaire de Montréal, il a été ordonné prêtre pour le diocèse de Montréal le 31 mai 1969. Il a obtenu un doctorat en théologie de l’Université pontificale Grégorienne de Rome en 1975. Il est membre de la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice depuis 1972.

Son parcours

Avant d’être nommé évêque, Mgr Gendron a exercé la majeure partie de son ministère comme directeur et professeur de théologie dès 1970. D’abord en Colombie puis au Grand Séminaire de Montréal dont il est devenu le recteur de 1987 à 1990. Il fut ensuite nommé recteur du Grand Séminaire St. Joseph et professeur au Newman Theological College à Edmonton, Alberta, de 1990 à 1994. Il a été ensuite supérieur de la Province canadienne des Prêtres de Saint-Sulpice jusqu’en 2006.

Nomination en 2006 : il devient évêque

Mgr Lionel Gendron a été nommé évêque auxiliaire par le pape Benoît XVI, le 11 février 2006, et ordonné le 25 mars suivant. Sa devise est: Deus caritas est (Dieu est amour). Le cardinal Jean-Claude Turcotte a nommé le nouvel évêque vicaire épiscopal à la formation du personnel pastoral. Depuis 2007, Mgr Gendron est directeur de l’Office du personnel pastoral, puis directeur du Service diocésain de formation initiale et continue depuis 2008. Il est membre des comités de Théologie et des Ministères de l’Assemblée des évêques catholiques du Québec.

Il a été nommé évêque du diocèse de Saint-Jean-Longueuil le 28 octobre 2010. À l'automne 2017, durant l'Assemblée plénière, il est élu comme nouveau président de la Conférence des évêques catholiques du Canada.

Annonce de son successeur

Sa Sainteté le pape François a accepté la démission de Mgr Lionel Gendron, P.S.S., comme évêque du diocèse de Saint-Jean-Longueuil, et a nommé son successeur, Mgr Claude Hamelin, le 5 novembre 2019. Mgr Gendron avait soumis sa démission au Saint-Père lorsqu'il a eu 75 ans, en juin 2019, conformément au Code de droit canonique.

Il devient évêque émérite le 10 janvier 2020

Depuis l'annonce de son successeur, Mgr Gendron, P.S.S., assumait la fonction d'administrateur apostolique jusqu'au moment de l'inauguration du ministère épiscopal de Mgr Hamelin qui a eu lieu le 10 janvier 2020. Mgr Gendron est alors devenu évêque émérite de Saint-Jean-Longueuil après avoir cédé officiellement le siège épiscopal à Mgr Hamelin.

Fonctions au sein de la Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC)

En plus de son rôle d'évêque, Mgr Gendron est impliqué au sein de la Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC). Il a été membre de la Commission épiscopale pour la doctrine (2008-2011), délégué de la CECC au sein du dialogue épiscopal entre orthodoxes et catholiques romains (2007-2012), et représentant de la CECC pour les séminaires et les centres de formation sacerdotale de langue française. Il a été cotrésorier (2011-2015), vice-président (2015-2017), puis président de la Conférence des évêques catholiques du Canada (2017-2019).

En octobre 2018, il a été l'un des quatre délégués élus par la CECC au Synode des évêques sur Les jeunes, la foi et le discernement vocationnel.

En février 2019, en tant que président de la CECC, Mgr Gendron a participé à la réunion convoquée par le Saint Siège sur la protection des personnes mineures dans l'Église.

Plus récemment, en octobre 2019, il a été nommé par le pape François à l'Assemblée spéciale du Synode des évêques en Amazonie, nouveaux chemins pour l'Église et pour une écologie intégrale.

 

 

Pour plus d'informations

Le diocèse des années 70

Les années 70 furent de grandes années pour le diocèse de Saint-Jean-Longueuil qui était encore, à ce moment-là, le diocèse de Saint-Jean-de-Québec. Les services administratifs et pastoraux venaient tout juste de quitter la ville de Saint-Jean (en 1969) pour Longueuil. Ce furent les années du départ de Mgr Coderre (1978) après vingt-sept de pastorat, et de l'arrivée de Mgr Bernard Hubert comme évêque coadjuteur (1977). Ce furent les années des lancements des grandes priorités diocésaines. Il y en a eu six entre les années 1970 et 1975. Ce furent aussi les années du début de l'éducation permanente dans le diocèse, de la fondation du journal diocésain « Au rythme de notre Église », aujourd'hui « La Vie dans notre Église », du premier congrès (1971), des Conseils paroissiaux de pastorale, de la création du Comité exécutif diocésain de pastorale, CEDP (1978), de l'établissement de cinq régions pastorales animées par des vicaires épiscopaux.

La population explose

L'explosion de la population diocésaine a marqué de façon spectaculaire la décennie 70. Au recensement canadien de 1976, la population du diocèse s'élevait à 460 413 personnes et elle devait atteindre le demi-million en 1979. Entre les années 1971 et 1976, la population diocésaine connût une augmentation de 91 436 personnes et son taux d'accroissement le plus élevé pour une période de cinq ans, soit 24,8 pour cent. Pendant chacune de ces cinq années, près de 20 000 nouveaux arrivants venaient s'installer sur le territoire diocésain, l'équivalent d'une ville de taille moyenne. La ville de Saint-Hubert à elle seule a vu sa population s'accroître de 28 000 habitants, celle de Longueuil de 22 500 et celle de Brossard de 10 000. Jusque là, francophone et anglophone, la population du diocèse devenait multiculturelle. La population était jeune. Près du tiers avait moins de 15 ans et à peine 4 pour cent des diocésains avaient plus de 65 ans. En 2001, les jeunes de moins de 15 ans ne regroupent plus que 20 pour cent de la population, tandis que les gens de 65 ans et plus représentent 10 pour cent de la population.

Des ressources humaines à faire rêver

Au milieu de la décennie 70, le diocèse recensait 206 prêtres diocésains incardinés, dont 180 exerçaient des activités diocésaines. L'âge moyen de l'ensemble était de 47 ans. C'est toutefois en 1967 que le diocèse eut le plus grand nombre de prêtres, soit 221. Ces chiffres font rêver si on les compare à ceux d'aujourd'hui. En 2002, il ne reste plus que 101 prêtres diocésains incardinés (à la fondation du diocèse en 1933, le diocèse comptait 104 prêtres diocésains) dont 68 seulement sont actifs. Aujourd'hui, la moyenne d'âge des prêtres est supérieure à 65 ans. C'est à la fin de la décennie 70 que le nombre de prêtres commença à chuter. En 1979, le diocèse ne comptait plus que 169 prêtres diocésains. Le mouvement à la baisse se poursuit, depuis, en raison des nombreux départs de jeunes prêtres à la fin des années 70 et au début des années 80, des décès plus nombreux d'une population vieillissante et d'une relève de plus en plus faible.

Les années 70 furent marquées par l'arrivée en pastorale des agents laïques. Ils étaient peu nombreux au début de la décennie, une douzaine en pastorale scolaire et sept dans les services diocésains. En 1975, leur nombre s'élevait à 56. Ces agents œuvraient surtout en pastorale scolaire et les services diocésains. La pastorale paroissiale était encore assurée presque uniquement par des prêtres. Il faudra toutefois attendre la fin des années 80 pour la venue en grand nombre des agents et agentes de pastorale laïques dans les paroisses.

Sa géographie

Depuis sa fondation, le 9 juin 1933, le diocèse de Saint-Jean-Longueuil a connu de profondes transformations, dont la proximité de Montréal est la principale responsable. Le diocèse est une porte ouverte sur la métropole : une voie de chemin de fer, cinq ponts, une ligne de métro le relient à l'île de Montréal. Le secteur le plus densément peuplé du diocèse est à quelques minutes du centre-ville de Montréal.

Le diocèse de Saint-Jean-Longueuil couvre un territoire situé entre le fleuve Saint-Laurent, la rivière Richelieu et les frontières canado-américaines. Ce territoire de 2,078 kilomètres carrés en fait un des plus petits diocèses du Québec en superficie, mais il est le troisième plus populeux au Québec et le quatrième au Canada.

Le diocèse est formé de trois régions pastorales francophones, placées sous la responsabilité du vicaire général aux régions et d'animatrices régionales. Une quatrième région couvre l'ensemble du territoire diocésain et regroupe les communautés anglophones du diocèse. Les quatre régions comptent 51 paroisses. La population du diocèse s'élevait, en juin 2006, à 706,278 personnes dont 607,410 catholiques. Au moment de sa fondation, le diocèse comptait moins de 75,000 habitants. En 1966, il en recensait déjà 304,388. Au cours des quarante dernières années, la population diocésaine a plus que doublé. Ces chiffres démontrent l'explosion démographique qui a bouleversé les structures du diocèse depuis sa fondation.

Au moment de la fondation du diocèse, la région de Saint-Jean présentait la plus importante concentration de population sur le territoire diocésain. Aujourd'hui, plus de la moitié de la population est concentré sur le territoire formé par les municipalités de Brossard, Longueuil et Saint-Lambert. L'ensemble de la région métropolitaine sud de Montréal regroupe environ 75 % de la population du diocèse.

Le diocèse est appelé à grossir encore. Depuis quelques années, la population augmente de 9,000 à 10,000 personnes chaque année.

Dates importantes

1933 - 1939

1933 Fondation du diocèse de Saint-Jean-de-Québec.

1934 Nomination de Mgr Anastase Forget, premier évêque du diocèse de Saint-Jean-de-Québec.

1934 Établissement de sept vicariats forains.

1935 Fondation du guidisme dans le diocèse.

1935 Fondation de la maison de retraite Sainte-Bernadette à Saint-Jean.

1935 Lancement de l'œuvre des terrains de jeux.

1935 Formation dans le diocèse d'une société de colonisation.

1936 Fondation de l'École Normale de Saint-Jean.

1936 25e anniversaire du Collège de Saint-Jean.

1936 Naissance de la JAC diocésaine.

1936 Ouverture à Saint-Jean de la maison de retraite Villa Saint-Jean.

1937 Le journal Le Richelieu, est déclaré organe officiel de l'action catholique diocésaine.

1937 Première journée diocésaine de l'action catholique.

1937 Fondation de l'œuvre des vocations.

1937 Première journée sacerdotale diocésaine.

1937 Naissance de la JEC diocésaine.

1937 Établissement des bases du syndicalisme catholique dans le diocèse.

1938 Naissance de la JOC diocésaine.

1939 Incendie du Collège de Saint-Jean.

1939 Érection du Chapitre de la Cathédrale Saint-Jean.

 

1940 - 1949

1940 Inauguration de la Centrale catholique à Saint-Jean.

1940 Établissement des premières cellules de la LOC qui promeuvent les coopératives d'habitation et de consommation.

1941 Naissance de la JIC (Jeunesse indépendante catholique).

1941 Fondation de la fédération diocésaine du Cercle des fermières.

1942 Reconstruction du Séminaire de Saint-Jean.

1944 Organisation d'une croisade mariale dans toutes les paroisses du diocèse.

1945 Fondation dans le diocèse des Cercles Lacordaire et Jeanne-d'Arc.

1945 Arrivée des premières vagues d'immigration sur la rive sud, à Jacques-Cartier, Mc Kayville et Saint-Hubert.

1946 Mgr Forget crée les Chantiers du Bon Pasteur. De 1946 à 1954, dix-sept paroisses et dessertes sont fondées.

1946 Fondation du Centre Mgr Forget pour délinquants.

 

1950 - 1959

1951 Ouverture de l'Externat classique de Longueuil.

1951 Nomination de Mgr Gérard-Marie Coderre comme évêque coadjuteur.

1951 Fondation de l'École Normale de Saint-Lambert.

1951 Fondation dans le diocèse de l'Association des commissions scolaires et de la Fédération des professeurs.

1951 Mgr Gérard-Marie Coderre devient évêque coadjuteur.

1952 Fondation du Service social diocésain.

1952 Inauguration du Séminaire des Saints-Apôtres (vocations tardives).

1953 Mise sur pied d'une première Grande Mission dans le diocèse avec comme thème « Nous voulons Dieu ».

1953 Fondation de l'Union des œuvres qui coordonne les mouvements et organismes diocésains.

1953 Première campagne de souscription de la Fédération des œuvres de charité de Saint-Jean.

1954 Établissement à Saint-Jean d'un couvent de Contemplatives : la Maison des Servantes du Saint-Sacrement.

1955 Décès de l'évêque de Saint-Jean-de-Québec, Mgr Anastase Forget.

1955 Mgr Gérard-Marie Coderre devient le deuxième évêque du diocèse.

1955 Fondation du Centre Ozanam à Jacques-Cartier.

1958 Établissement de la Semaine de la charité.

1959 Célébration du 25e anniversaire du diocèse.

1959 Deuxième Grande Mission dans le diocèse avec comme thème « Renouveau de la société ».

 

1960 - 1969

1960 Début des consultations avec les prêtres, religieux et laïques en vue de la préparation pour le Concile Vatican II.

1960 Troisième Grande Mission dans le diocèse avec comme thème «Revalorisation de la communauté»

1961 Jumelage Saint-Jean - Valparaiso.

1961 Inauguration du Sanctuaire Mère d'Youville à Varennes.

1962 Création de la Campagne de Pain Partagé.

1962 Mise en place de l'office diocésain de l'éducation pour la pastorale et la catéchèse dans les écoles.

1963 Opération « Renouveau 63 » dans la grande région de Saint-Jean.

1965 Fondation du Conseil diocésain de pastorale.

1966 Le diocèse est divisé en zones pastorales.

1967 Mise sur pied des sessions presbytérales de trois semaines pour les prêtres du diocèse.

1967 L'Office de la famille est reconnu officiellement.

1967 Le Conseil diocésain d'administration financière entre en fonction.

1969 Relogement des services diocésains à Longueuil.

1969 Réorganisation des services diocésains.

1969 Fondation du Moutier à la station de métro Longueuil.

 

1970 - 1979

1970 Début des Assises et des priorités diocésaines qui se poursuivent jusqu'en 1975.

1970 Création de l'éducation permanente dans le diocèse.

1970 Fondation du journal « Au Rythme de notre Église » devenu « Actualité diocésaine ».

1970 Lancement de la priorité « Jésus Christ : sa connaissance et sa reconnaissance par l'homme d'aujourd'hui ».

1971 Lancement de la priorité « La reconnaissance de Jésus Christ dans le quotidien ».

1971 Le diocèse cède aux Sœurs Grises de Montréal le Sanctuaire Mère d'Youville afin de l'administrer et de l'animer.

1971 Premier congrès diocésain des Conseils paroissiaux de pastorale.

1972 Lancement de la priorité « Quelle Église sommes-nous? ».

1973 La Maison Shalom de Longueuil est reconnue comme lieu de ressourcement spirituel dans le diocèse.

1974 Nomination de Mgr Robert Lebel comme évêque auxiliaire.

1974 Lancement de la priorité « Une Église en vie ».

1975 Lancement de la priorité diocésaine « Une pratique dominicale et chrétienne à redécouvrir ».

1976 Départ de Mgr Lebel, évêque auxiliaire, nommé évêque de Valleyfield.

1976 Lancement de la priorité diocésaine « Une pratique de partage ».

1977 Création de la Fondation Mgr Gérard-Marie Coderre .

1977 Mgr Bernard Hubert est nommé évêque coadjuteur.

1978 Mgr Gérard-Marie Coderre prend sa retraite après 27 années de service pastoral.

1978 Mgr Bernard Hubert devient le troisième évêque du diocèse.

1978 Création du Conseil épiscopal de direction de la pastorale (CEDP).

1979 Établissement de cinq régions pastorales animées par des vicaires épiscopaux.

 

1980 - 1989

1980 Réaménagement des services diocésains en six services pastoraux.

1980 Béatification de Kateri Tekakwitha.

1980 Béatification de Mère Marie-Rose.

1980 La population diocésaine atteint le demi-million.

1981 Incendie d'une partie du Centre diocésain.

1982 Le diocèse reçoit un nouveau nom : Saint-Jean-Longueuil.

1982 L'église Saint-Antoine à Longueuil devient cocathédrale.

1982 Marie-Léonie Paradis déclarée vénérable.

1982 Lancement de l'opération Renew pour les catholiques anglophones du diocèse.

1982 Fondation de l'école de formation.

1982 Début de la reconstruction du Centre diocésain.

1983 Ouverture officielle de la nouvelle partie du Centre diocésain.

1983 Tenue du premier congrès des jeunes.

1983 50e anniversaire du diocèse.

1983 Ouverture de la Maison Jonathan pour jeunes défavorisés.

1984 Reconnaissance d'une première équipe de pastorale à Lacolle.

1984 Célébration du 50e anniversaire du diocèse au Colisée Jean-Béliveau.

1985 Création d'une Commission Jeunesse dans le diocèse.

1985 Mgr Bernard Hubert est élu président de la Conférence des évêques catholiques du Canada.

1985 Lancement d'une lettre pastorale de Mgr Hubert sur la condition féminine.

1985 Inauguration de la Résidence Léonie-Paradis pour les prêtres âgés.

1986 Tenue d'une conférence internationale du guidisme à Saint-Jean.

1986 M. l'abbé André Beauregard devient le premier prêtre diocésain à célébrer un centenaire.

1987 Mgr Jacques Berthelet, C.S.V., est nommé évêque auxiliaire du diocèse de Saint-Jean-Longueuil.

1988 Ouverture à Longueuil de la CASA, centre d'accueil pour sans-abri.

1988 Fermeture du Centre Shalom à Longueuil, centre de ressourcement spirituel et de prière depuis 20 ans.

1988 Lancement officiel du projet « Renouveau » dans le diocèse.

1989 Première campagne de levée de fonds dans le diocèse.

 

1990 - 1999

1990 Clôture du projet Renouveau.

1990 Canonisation de Marguerite d'Youville.

1990 Mgr Bernard Hubert propose « Une Église communautaire et missionnaire » comme orientation pastorale pour les prochaines années.

1990 Nomination d'une première femme mariée comme coordonnatrice des activités paroissiales.

1991 Première assemblée générale du presbyterium.

1991 Mgr Bernard Hubert est nommé président de l'Assemble des évêques du Québec.

1992 La région pastorale Sud est divisée pour former deux nouvelles régions : région du Haut-Richelieu et région Ouest.

1993 Décès de Mgr Gérard-Marie Coderre, deuxième évêque du diocèse.

1996 Décès de Mgr Bernard Hubert, troisième évêque du diocèse.

1996 Mgr Jacques Berthelet, C.S.V., est nommé quatrième évêque du diocèse de Saint-Jean-Longueuil.

1996 Lancement d'un livre posthume de Mgr Bernard Hubert, « Il faut que l'Église parle ».

1997 Lancement de l'opération DEMAIN LA PAROISSE.

1997 La maison Hébergement La Casa est dorénavant connue sous le nom d'Hébergement La Casa Bernard-Hubert.

1997 Mgr Jacques Berthelet nomme un vicaire épiscopal à la paroisse.

1998 Inauguration de la nouvelle paroisse Saint-Joseph-de-Chambly par la dissolution des paroisses Saint-Benoît et Très-Saint-Cœur-de-Marie.

1998 Ouverture du musée de la cocathédrale de Longueuil.

1999 Ouverture officielle du Centre de ressourcement spirituel Saint-Jean à Saint-Jean-sur-Richelieu.

1999 Création du Prix Mgr Bernard-Hubert récompensant un organisme particulièrement actif dans l'élimination de toutes formes d'exclusion.

1999 Création à Longueuil de la maison Le Phare, un centre de pastorale-jeunesse.

 

2000 à aujourd'hui

2000 Création des Services diocésains à la Mission (Service à la Mission des communautés, Service à la Mission auprès des adultes, Service à la Mission auprès des jeunes, Service à la Mission dans le monde) qui remplacent les Services pastoraux.

2000 Ouverture à Longueuil de l'Abri Rive-Sud, une nouvelle ressource pour les sans-abri.

2000 Célébration du 300e anniversaire de la mort de Marguerite Bourgeoys.

2001 Le diocèse accueille le Reliquaire de sainte Thérèse de Lisieux.

2001 La croix de la Journée Mondiale de la Jeunesse est en visite dans le diocèse.

2001 Publication de la lettre pastorale Le Service de la paroisse.

2001 Mgr Jacques Berthelet devient président de la Congrégation des Évêques Catholiques du Canada.

2002 Les régions pastorales sont regroupées de la façon suivante : Centre, Longueuil-Nord, Sud-Ouest, Anglophone.

2002 Participation du diocèse à la Journée Mondiale de la Jeunesse à Toronto.

2003 Établissement de « Chemins de Vie ».

2003 Création d'une personne morale, « Le Sanctuaire Sainte-Marguerite-d'Youville » à laquelle Les Sœurs Grises de Montréal cèdent la propriété, l'administration et l'animation du Sanctuaire Mère d'Youville.

2004 Transfert des restes de Bienheureuse Marie-Rose Durocher à St-Antoine.

2004 Regroupement des paroisses de Longueuil de 14 à 3.

2004 Mgr Dicaire nommé évêque auxiliaire.

2008 75e anniversaire du diocèse.

2010 Mgr Berthelet prêche à l'Église Unie de St-Lambert.

2010 Ordination du premier diacre permanent francophone : Bernard Gaudreault.

2010 Mgr Lionel Gendron, P.S.S. succède à Mgr Jacques Berthelet C.S.V. comme évêque de Saint-Jean-Longueuil.

2012 Raymond Poisson nommé évêque auxiliaire à St-Jérôme.

2012 Canonisation de Kateri Tekakwitha.

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